Capitalisme d’influence : l’image et les médias leviers de l’économie française

« La bande des huit ». Ce sont des capitaines d’industrie, propriétaires de leurs groupes : Arnault, Bolloré, Bouygues, Dassault, Drahi, Kretinsky, Niel, Saadé, auxquels il convient d’ajouter le cas particulier du Crédit mutuel…Ces grands capitalistes représentent une spécificité française, celle de posséder des médias, alors que le centre de leurs intérêts est ailleurs : dans le luxe, le bâtiment, l’armement et l’aéronautique, les télécoms, le transport ou la banque…

 

 

 

 

 

Un investissement rentable

 

 

Que viennent faire ces capitaines d’industrie dans cette galère, alors que les médias dévorent les capitaux pour une faible rentabilité?…Des intérêts industriels et commerciaux s’entremêlent donc en France avec l’information, qui est le carburant de la démocratie et de l’économie…Lire la suite (extrait de l’article de l’alternative économique)

 

 

Une capacité d’influence hors-norme

 

 

« La concentration entre les mains de quelques-uns de l’ensemble des leviers de fabrication et de diffusion de l’information et de la culture leur offre en effet une capacité d’influence inégalée. » Mais le capitalisme d’influence n’est pas que médiatique, loin de là. L’investissement dans le mécénat et la culture peut s’avérer bien plus productif…Lire la suite

 

 

L’influence, n’a pas de prix, mais un coût

 

 

Selon la Cour des comptes, « la véritable retombée [de la Fondation Louis Vuitton à Paris] est l’apport en termes d’image au groupe et à sa principale marque »…Un dirigeant de LVMH l’avoue : « Nous sommes si gros, si puissants que nous n’avons même plus besoin de faire du lobbying, ça se fait tout seul » (Le Monde, 8 août 2023)…Lire la suite

 

 

 

 

 

 

 

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